Nom : Jelenski (prononcer Yélennshki)
Prénom : Alekszander (prononcer comme vous pourrez)
Surnom : Alek, c'est comme ça que tout le monde m'appelle.
Âge : la trentaine.
Groupe : Militaire, je suppose...
Ambition : Plaire à mon idole ?
Nationalité : Polonaise.
Lieu de résidence : Non communiqué.
Plus grande peur : Perdre mon supérieur, me retrouver livré à moi-même.

Caractère : Alek n'est pas un très grand philosophe. Bien qu'il ait une culture assez élaborée due aux longues heures passées à lire dans son minuscule boxe au département des renseignements du KGB, il ne s'étale que rarement sur son savoir et ne se permet pas d'avoir une opinion arrêtée sur quelque-chose si son interlocuteur est quelqu'un qu'il tient en haute estime et qu'il a l'opinion contraire. Il parle peu, sauf quand il panique (ce qui arrive assez rarement), où là, il se met à devenir une vraie pipelette. D'ordinaire très renfermé et introverti, il est difficile de deviner ce à quoi il pense ou son état d'esprit du moment, car son visage reste le plus souvent impassible. Il sourit rarement. Du moins, il souriait rarement jusqu'à ce qu'il rencontre Vladimir Spalko, mais c'est une autre histoire. Étrangement, Alek aime profondément et au delà de tout entendement le tiramisu. Son esprit sinueux et aiguisé est difficilement impressionnable. Il a déjà tué, plusieurs fois même, mais les visages des inconnus morts sous ses coups le tiennent éveillé toutes les nuits. Il est donc de nature insomniaque, ce qui explique les cernes sous ses yeux. Néanmoins, il est capable de descendre quelqu'un de sang froid si son supérieur le lui demande, reléguant sa petite personne au second plan, au profit de l'estime que pourra avoir Spalko pour lui. C'est un mécanicien hors-pair, qui connait tout ce qui se rapporte à l'électricité, la mécanique, la physique quantique et bien d'autres... Il est capable de désamorcer une bombe nucléaire avec pour unique outil une pipe en bois ou un coton-tige.

Physique : Alek est très grand et sec. Ses os saillants contrastent étonnamment avec son amour inconditionnel pour le tiramisu. Néanmoins, sous ses airs de freluquet, il ne manque pas de force physique. Il est d'une robustesse impressionnante pour sa constitution, et maitrise à peu près toutes les formes de combat au corps à corps. Son visage est d'une finesse toute polonaise, avec un long nez, un petit menton, des lèvres fines et des yeux bleu-clair soulignés de cernes. Il ne laisse jamais sa barbe pousser très longtemps car il trouve que cela le rend vieux. Ses cheveux noirs de jais coupés plutôt courts sont souvent en bataille, car mis à part son aversion pour la barbe, il ne prend pas exagérément soin de son apparence. Le plus souvent, il est vêtu de noir (quand il n'est pas en uniforme). Il parle couramment une vingtaine de langues, mais préserve son accent polonais comme un héritage précieux. Car même s'il vouait une servitude totale à l'égard de l'URSS (avant sa rencontre avec Vladimir Spalko du moins), cet héritage est le seul qui lui reste de son pays natal.

Histoire : Alekszander est né dans un petit village pauvre et perdu au fin fond de la Pologne des années 20. Déjà petit, il montrait des signes de marginalité visibles. En effet, tandis que tous les enfants formaient des groupes soudés (qui deviendront plus tard la résistance polonaise, et finiront tous aux Goulags), Alek était toujours en retrait. Au grand désespoir de son père, un nationaliste polonais convaincu. A l'age de 8 ans, il finit sa scolarité (soit trois ans avant le cycle normal) et lorsque sa mère mourut, il décida de se soustraire à la vie médiocre d'agriculteur en partant seul pour Moscou. Il arriva 2 ans plus tard et s'engagea dans l'armée, mentant sur son age car il était plus grand que la moyenne. A l'époque, il n'était pas rare de voir des soldats de 14 ans ou moins dans l'armée rouge. Montrant des capacités hors du commun pour comprendre et assimiler codes, mécanismes et langues, il fut muté au bureau des renseignements où il passa les 9 années les plus ennuyeuses de sa vie, professionnellement parlant. Lorsqu'il ne travaillait pas à mettre au point un nouveau système de codage d'informations, il s'occupait en lisant. Ses lectures étaient aussi diverses qu'enrichissantes: il apprit ainsi le français, l'anglais, l'italien, l'allemand, comment piloter un avion, comment fonctionnait un détonateur, une mine, un fusil... Mais se trouva une passion infinie pour la littérature française du XVIIIème siècle. C'est également dans un de ces livres qu'il apprit l'existence du tiramisu, et sans même l'avoir goûté, décréta son adoration pour ce dessert qu'il qualifie comme le Saint des Saints. Et il monta en grade. Ainsi nommé Sergent, qui reste encore son grade aujourd'hui, il fut muté à la section secrète des renseignements. Là, il eut accès au programme de mise au point d'une arme parapsychique. D'abord sceptique, il ne put être qu'époustouflé du succès que rencontrait chacune des expériences menées ici bas. Ainsi par exemple, une lapine était séparée de ses bébés, qui étaient transportés dans un sous-marin tandis que leur mère restait à la surface. Les lapereaux tués un par un à plus de 100m sous la surface des eaux, l'électroencéphalogramme de la mère montrait des fluctuations distinctes: il existait donc bel et bien un moyen de communication au delà de la parole. Quelques années plus tard, la Seconde Guerre Mondiale éclata, et Alekszander fut appelé au front. Il participa à la bataille de libération de Stalingrad et se vit octroyer une médaille en cet honneur. Mais les horreurs qu'il avait vues là bas rendaient toute forme de reconnaissance nationale bien dérisoire. Sa foi en sa mère-patrie d'adoption s'en trouva ébranlée, et lorsqu'il réintégra le département des renseignements, il rencontra Vladimir Spalko. Ce nom lui était familier car il avait travaillé sous les ordres d'une dénommée Irina Spalko lors des fameuses expériences para-psychiques. Leur première rencontre fut décisive pour lui. Il voyait en ce personnage tellement de grandeur, de fierté et de classe qu'il y trouva une substitution au culte de la personnalité Stalinien. Il se promit de tout faire pour arriver à être sous les ordres de ce fascinant Ukrainien. Lorsqu'il y eut un appel aux volontaires pour enquêter en Amazonie sur la disparition de la fameuse Irina Spalko, Alek sauta sur l'occasion, car ces recherches seraient menées par Vladimir, qui se trouvait être le frère d'Irina. Ainsi, lorsque celui-ci le mit dans la confidence par rapport à ses agissements doubles, ses menaces furent inutiles. Alek décréta qu'il préférait mille fois mourir que de trahir son supérieur, prétextant une foi inébranlable en la hiérarchie militaire. Ce qu'il ressentait à l'égard de cet homme de 5 ans au moins son cadet était tellement puissant et indescriptible qu'il ne pouvait se résoudre à le lui avouer, craignant un rejet total de Vladimir, ce qui, sans aucun doutes, plongerait le pauvre Polonais dans un gouffre sans fond.



Prénom : Jinx, eh oui, c'est encore moi, Indy =D
Âge : 17 ans, toujours, du moins jusqu'à preuve du contraire
Passions : Les mêmes x)
Code : OK by Mutt
Personnalité sur votre avatar ? Adrien Brody, dit Didy, ou Brodylicious.
Comment avez vous connu le forum ? De la même façon que la dernière fois, je pense xD
Comment trouvez vous le forum ? Toujours aussi graaaaand =D

Comme je t'aime toi.. u_u
=)
Super fiche mais j'te l'avais déjà diiiit <3

Bien bien... Alors je sais pas... J'hésite... Je valide ? Huuummm... J'ai pas envie... Heu...

Nan, j'déc'. J'te valide. (je ne viens que de voir ta fiche y'a peu de temps xD)

Vladychounet a écrit:

Comme je t'aime toi.. u_u
=)
Super fiche mais j'te l'avais déjà diiiit <3

Moi aussi je t'aimeuh :P
Et puis nah, TA fiche est une super fiche, cette fiche-la, c'est une fiche. Point barre. x)

Mutt Jones a écrit:

Bien bien... Alors je sais pas... J'hésite... Je valide ? Huuummm... J'ai pas envie... Heu...

Nan, j'déc'. J'te valide. (je ne viens que de voir ta fiche y'a peu de temps xD)

Yahaaa, pas d'soucis ^^ Mais je me demande bien d'où vient ta perplexité. Tu pèses le pour et le contre d'offrir un animal de compagnie à Vlady? Pourtant, ça a l'air de lui faire tellement plaisir... C'est peut être pour ça que tu hésites ! xD

RED IS NOT DEAD ! :cheers:

C'est que je me méfie quand c'est rouge, c'est jamais bon xDDD