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 La prophétie des Ténèbres

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La prophétie des Ténèbres Vide
MessageSujet: La prophétie des Ténèbres   La prophétie des Ténèbres EmptySam 17 Jan - 21:47

Cette Fan Fic est plutôt spécial. Elle est basé sur plusieurs personnages vivant dans différents pays et ayant tous un passé et un caractère relativement différent. Elle décrit leurs comportement face a un certain evenement plutôt étrange. C'est plutôt difficile a expliquer x_x


1er Jour


    Italie : Vatican
    Matin du 18 Juin 1856


    Il devait être 11h du Matin et pourtant les ténèbres règnes toujours dans les couloirs de la Ville Sainte du Vatican. Mais tout à coup une petite lumière rouge apparait. C’est une torche. Et évidemment elle est tenue par un jeune homme. Celui-ci porte une Soutane et marche d’un pas rapide dans les couloirs. Il semble chercher une personne en particulier. On peut lire une certaine anxiété sur le visage de ce qui semble être un jeune prêtre. Au bout d’une bonne dizaine de minute il arrive essoufflé devant une porte en bronze richement décoré. Il frappe dessus d’une manière brutale comme pour être sur que la personne qui ce trouve dans la salle d’en face va ouvrir après quelques minutes un homme assez vieux portant un bonnet de nuit ridicule et tenant une bougie dans la main droite ouvre la porte et répond au jeune homme plier en deux surement a cause de l’effort qu’il vient d’effectuer.

    « Allons, allons frère Lorenzo que ce passe il ? Pourquoi venez vous me dérangez au bon milieu de la nuit ! »

    Le jeune homme qui se nomme donc Lorenzo reprend son souffle et il ce remet droit devant l’homme au bonnet de nuit il s’appuyé ensuite contre le mur a sa gauche et dit a l’homme :

    « Justement mon père ! Il ne fait pas nuit ! Il est Onze Heure passé ! Et le jour n’est pas encore arrivé. Les gens son affolés et certains prêtre annoncent même l’apocalypse ! Tous le monde pense que c’est la fin du monde… C’est Horrible. Le Cardinal Ambrozzi aimerait vous voir mon seigneur le Pape. Je suis donc venu vous prévenir…. »

    Devant de telles paroles l’homme au bonnet ridicule qui était en fait le Pape fait un bon en arrière. Un sentiment de surprise et de peur peut se lire sur son visage… Que ce passe il ? Comment va il géré cette situation. Il rentre dans sa chambre et commence à tourner en rond. On peut comprendre… LE Stress l’envahi… Il ce tourne et dit au jeune homme. L’homme demande alors au dénommé Lorenzo de sortir pour lui laisser le temps de s’habiller et de mettre ses habilles d’apparat ! Comme promis l’homme ouvre un placard et enfile tous les vêtements qui font de lui le représentant du dieu des Chrétiens sur cette Terre. Une femme de chambre l’aide en effiler tout ca et alors qu’il s’apprêtait à mettre sa coiffe de prêtre il s’approche de la grande fenêtre de sa chambre et observe les ténèbres. Aucun signe de soleil... Seulement une demi-Lune brillant de tous ses éclats. Personne n’aurait peut deviner qu’il était 11 heures si les montres n’existaient pas… Non personnes… Enfin bref étant habillé il sort et suit le jeune prêtre jusqu'à ce qui semble son bureau. Il pousse une énorme porte en acier tremper et ce retrouve face un autre vieil homme vêtu de Rouge c’est lui. C’est le Cardinal Ambrozzi. Il regarde l’autre homme et soupire avant de dire ces quelques mots :

    « Mon Seigneur… Vous êtes le Pape… C’est vous le représentant des Chrétiens d’Europe et du monde. La foule est en panique. Les rues de Rome sont remplit de gens qui hurlent ! Et regardez à la fenêtre ! La foule veut voir le grand Pape Pierre III ! Vous devez les rassurez… Faites un discours écoutez les hurlez ! Ils ont besoin d’être guider… »

    « Mais… Mon frère je n’ai eu vent de cette affaire qu’il y a une dizaine de minute je ne peux rien dire. En tous cas pas dans l’immédiat… »

    Mais il est coupé par le Cardinal qui lui dit de regarder la place Saint Pierre depuis la fenêtre. Il s’exécute et a devant lui un spectacle des plus étonnants. En effet la place est remplit. Les portes du Vatican ont étaient brisé et des milliers des catholiques sont venu dans la Place Saint Pierre dans l’espoir de voir le Pape et dans l’Espoir d’être sauver. Les Gardes Suisses ont étaient débordé et sont obliger de garder la porte qui mène vers les appartements. Mais alors que le pape regarde par la fenêtre un homme en contre bas l’aperçois la fenêtre puis un deuxième. Ceux-ci ont vite fait de rependre la nouvelle dans la foule qui ce met à hurler « PIERRE III ! PIERRE III » d’autre eux hurlent que l’apocalypse approche alors que certains eux sont a terre et lisent des versets de la Bible… Devant un tel spectacle le Pape reste bouche bée… Il ne sait pas quoi dire… Il ne sait pas quoi faire… Il ne peut pas faire un discoure alors qu’il ne connait pas la situation mais il ne peut pas non plus laisser les gens comme ca… Dans la peur et la folie. Il ouvre la fenêtre et demande le silence en claquant plusieurs fois des mains mais rien ils hurlent toujours apparemment le brouhaha couvre le bruit que fait l’homme d’église. Il fait alors venir des crieurs et des hommes pour sonner les trompettes ! Après un puissant bruit de trompette la foule ce calme et le représentant des Catholiques du monde entier peut enfin prendre la parole…

    « Mes chers Fils… Mes chers frères… Mes chères sœurs écoutées. Ce matin je me suis levé et comme vous j’ai cru qu’il faisait encore nuit ! Je n’ai étais informer de cette situation qu’il y a quelques heures et au nom du seigneur je vous demande de ne pas céder a la panique générale ! Si c’est l’œuvre de dieu alors elle ne peut pas être mauvaise. Non peut être est ce dieu qui nous met a l’épreuve il veut peut être voir notre amour envers lui et envers les hommes… Je peux juste vous dires une chose ne faites pas de dégâts arrêtez d’hurler a l’Apocalypse. Calmez-vous… Rentrez chez vous ou encore allez dans vos églises et priez le seigneur… Je reparlerais dans la journée… Sur ce je vous dis au revoir… »

    Après ce cour discoure un prêtre vient prendre la place du Pape et ce met a prié la foule et légèrement calmé même si quelques malins hurlent toujours et cours dans tous les sens. D’après ce que l’on dit les rues de Rome étaient en proie a la paniques et plusieurs maisons avaient étaient pillé…


    ...........................


    Grande Bretagne : Londres
    Après Midi du 18 Juin 1856


    Apparemment Rome n’est pas la seule ville d’Europe touché par les ténèbres c’est aussi le Cas de la Capitale Anglaise qui est toujours sous les ténèbres a 2 heure de l’après Midi. Et comme a Rome on peut voir des scènes dignes de l’apocalypse. Les vieux quartiers pauvres sont submergés par la foule et les magazines prient d’assaut par les pauvres qui ont peur de manquer de nourriture si le soleil ne revient jamais. Les scènes sont vraiment apocalyptique et on voit des policiers ce faire complètement écraser par les la foule qui veut absolument faire des provisions ou tout simplement hurler a la mort. Devant le palais Royale les gardes ont du boulot. Les émeutes s’approchent du château et apparemment les pauvres en veulent a la famille Royale une cinquantaine d’hommes ce sont approché des grilles mais ce sont fait abattre sans ménagement ! C’était les ordres… En effet les gardes ont reçut l’ordre de tiré dès qu’il y avait un danger potentiel. Mais si ca continue comme ca les villes vont rapidement manquer et le palais va être submergé. Heureusement le roi et la reine ne sont pas la mais malheureusement le prince héritier est encore la avec ses tuteurs et tous les nobles… Heureusement les gardes sont rapidement ont reçut de l’aide et les soldats en poste dans les casernes alentours sont venus leurs prêter main forte. Parmi eux on il y a un jeune soldat. Il doit être environs âgée de 25 ans peut être plus. En tous cas il ne dépasse pas la trentaine. Son visage est traversé par une longue cicatrice surement causé par une lame… Au moment ou lui et sa division arrive sur les lieux les habitants de Londres ont déjà foncé entouré les châteaux et les gardes déjà débordés le sont encore plus qu’il y a une vingtaine de minutes. Les jeunes hommes et ses camarades foncent donc dans le tas et les habitants tombent un par un sous les balles ou sous les coups de sabres. Le spectacle et macabres mais il ne décourage pas la foule qui telle la marée ne cesse de monté vers le palais. Le soldat a la balafre s’approche alors du portail et lui et ses soldats réussissent à le fermer. Le prince est en partie hors de danger au même moment le balafré ce retourne vers un des gardes tous vêtue et rouge et lui dit avec une voix lassé et grave :

    « C’est dingue Ca ! Et après ils parlent des bêtes sauvages et des habitants des colonies. Ils ne sont pas mieux d’ailleurs je n’aurais jamais du revenir en Grande Bretagne au moins en Inde il y avait du soleil la journée… »

    L’autre personnage ce mit à rire et il ôta son énorme casque alors que certains soldats eux tenter de contenir la foule a travers le grand et épais portail. Un homme tenta de l’escalader mais il tomba lorsqu’un garde fit feu en dissuadant le reste de la population de grimper. C’était vraiment étrange. La Lune brillait toujours mais l’on était en pleine journée. Même si pour la plupart des soldats le plus important était de contenir cette émeute certains ne pouvaient s’empêcher de trembler a l’idée d’une nuit eternel ou pire d’une fin du monde imminente. Pour beaucoup la première solution était le meilleur mais comment vivre sans soleil pendant des jours ? Voir des années ? C’est le genre de question ce poser le balafré celui-ci essuya son front encore couvert de sueur et serra la main de celui qui sembler être le chef de la garde de ce palais.

    « Enchantez. Je suis le Chef de Caserne Rorry Mc Brie je suis venu vous prêtez main forte ! J’espère que je pourrais vous êtres utiles ! Ma division est prête à mourir pour… sauver la couronne… »

    La dernière partie de son petit discoure avait était prononcé différemment il n’avait pas prononcé le mot « couronne » de la même manière. En effet avant de le dire il était resté silencieux et ensuite sa voix avait l’air plein de haine ? Pourquoi une telle haine ? C’était très bizarre... Malgré ca le chef de la garde répondit d’abord avec un sourire puis répondit en haletant :

    « Merci d’être venu si vite ! Je ne sais pas si ont auraient put tenir sans votre aide Chef de Caserne Mc Brie je vous suis très reconnaissant. Au fait pour répondre à votre question en Inde aussi il fait nuit… Et c’est la même chose a dans le reste de l’Europe. Il parait qu’a Rome il y a eu des Emeutes mais que le Pape a réussit à les calmer grâces a un discours nous on ne peut pas faire ca la reine et le roi ce sont enfuit ce matin … Justement a cause de possibles émeutes… »

    Mc Brie soupira et regarda la foule tenter de briser ce qui les séparé du château même dans de telle conditions ils trouvaient ca déplorable. Il avait comme un sentiment d’aversion envers leurs comportement il ne comprenait pas pourquoi ils faisaient ca. En tous cas une chose était sure il n’allait pas les laisser passer…

    ...........................


    France : Carnac
    Nuit du 18 Juin 1856


    Je ne peux pas vous dire que la nuit était tombé en France puisque le jour ne s’était pas lever en tous cas il devait être 23h en France a Karnak. Ce lieu si mystérieux couvert de pierres dressé ect… Au milieu de ces lieux étranges. Des hommes tout aussi étranges ceux-ci étaient éclairé avec des bougies et porter tous de long manteaux marron. Leurs visages eux étaient caché par une épaisse capuche ils semblaient défilé entre les pierres… Karnak est un lieu ancestral et on dit que la nuit des êtres magiques dansent entre les pierres en chantant de mystérieuse chanson est ce que c’est le cas maintenant ? Non il s’agit bel et bien d’êtres humains fait de chairs et d’os. Et au bout de quelques minutes l’un d’eux s’assoit. Même si l’on ne peut pas voir le haut de son visage et donc ses yeux on peut tout de même apercevoir un léger sourire aux lèvres de celui-ci il regarde un par un les membres de cette drôle d’assemblez et ce met à rire. Pourquoi ? Et bien il va surement l’expliquer puisqu’il prend la parole devant une cinquantaine de personne.

    « Mes amis… Mes frères d’Armes le jour que l’on a tellement attendu et enfin arrivé. Les cieux ont entendu nos chansons et ont vues nos processions. Ils ont réalisé nos rêves. Du moins en partie ! Car vous le savez tout cela n’est pas encore terminé ! Pour que les dieux continues à suivre notre macabre scénario il faut continuer a chanter et a défiler mes frères. Alors recommençons nôtres processions et chantez encore plus fort qu’avant ! »

    A ce moment la un éclair tomba du ciel et fit tomber un arbre comme si le ciel avait écouté le discoure de ce drôle de personnage encapuchonné ! C’était vraiment étrange. De plus après un grand coup de tonnerre la pluie se mit à tomber et commença a mouiller les hommes qui défiler entre les pierres. L’eau couler à flot et la pluie éteignit même quelques flambeaux mais malgré la pluie l’orage et surtout l’obscurité les hommes continuèrent à défiler sans pour autant trébucher ou se cogner contre un rocher ils étaient comme protéger par une force divine qui nous est inconnu. Cette procession dura des heures et des heures et lorsque l’Eglise du village le plus proche sonna les douze coups de minuit les hommes se mirent a chanter encore plus fort dans une langue que peut de gens doivent connaitre….
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La prophétie des Ténèbres Vide
MessageSujet: Re: La prophétie des Ténèbres   La prophétie des Ténèbres EmptyDim 18 Jan - 0:35

Jour 2

    Grande Bretagne : Londres
    Matin du 19 Juin 1856


    Les choses se sont aggravé dans la nuit du 18 au 19 dans la Capitale Britannique. En effet un certain Dick la Dent d’Or a prit la tête des émeutiers et a réussit à rendre ceux-ci plus dangereux grâce a un soit disant Grand Talent d’orateur. Beaucoup des Londoniens ont attaqué le palais dans l’espoir de tuer l’héritier de la couronne comme si ce jeune garçon était la cause de cette catastrophe qui n’avait pas disparu puisque pour la deuxième fois le soleil ne s’était pas lever. Et s’il avait fait il aurait éclairé la cour du palais couverte de cadavre ! Oui comme je vous l’ai dis les Londoniens avaient attaqué le palais mais ce n’est pas avec des poils à frire et des petits couteaux que l’on bat des hommes armés de fusils et entrainé pour tué. La foule avait chargé et ce fut un vrai massacre. Les Soldats eux-mêmes étaient traumatisés et on pouvait discerner leurs visages dégoulinant de sueur dans cette pénombre qui avait l’air éternelle. Enfin tous les soldats ne semblaient pas traumatisé en tous cas ce n’était pas le cas de Rorry. Il était au milieu de la grande cour à quelques mètres du portail assis sur deux cadavres tel un chef de guerre trônant sur le corps de ses multiples victimes. Une cigarette au bec son fusil lui était posé sur son épaule droite. Il fumé comme si rien était et se contenter d’observer la fumé qui sortait de sa cigarette. Il la regarder s’élever vers le ciel en faisant de petit tourbillons. Mais au milieu de cette scène que l’on pourrait qualifier de majestueuse mais morbide une chose faisait tache. Il s’agit de la main gauche du balafré alors que lui était assis sans un mot celle-ci n’arrêtait pas de trembler elle bouger et apparemment c’était indépendamment de sa volonté… Ce ne pouvait pas être le froid… Malgré la nuit la température était plus qu’agréable et le militaire lui portait une épaisse veste en laine. Alors qu’est ce que c’était ? Ce drôle de spectacle intéresser les soldats car malgré les ténèbres qui couvraient la capitale ainsi que le reste du pays les soldats ne pouvaient s’empêcher de regarder cet homme avec des yeux tous ronds. Il est vrai qu’un tel comportement n’était pas fréquent et même le chef de la garde était étonné. Plus tôt dans cette nuit plus longue que prévu des soldats avaient quitté les lieux pour aller inspecter les alentours… Ils n’étaient toujours pas revenus et le chef de la garde commençait a s’inquiétait pour ses hommes peux êtres que ceux-ci c’étaient fait tué ou autre…

    Alors que celui-ci observer sa montre a gousset des bruits de pas se firent entendre, ceux-ci étaient bruyant et les soldats purent rapidement apercevoir un des soldats envoyez plus tôt. Celui-ci arriva devant la grille en quelques minutes en le voyant ses collègues ouvrirent rapidement le grillage. Celui-ci demanda alors à voir les supérieurs et celui-ci s’avança vers Rorry qui était encore assis sur deux ou trois morts. Le jeune soldat qui avait apparemment fait une longue course semblait plutôt intimidé devant ce drôle de bonhomme il observa longuement l’homme qui était devant lui avant de s’arrêter pour fixer la main du soldat qui elle ne s’arrêter pas de trembler. Il expira longuement avant de pointer cette main et de dire :


    « Vo… Votre main… Elle n’arrête pas de trembler… »

    Le Chef de Caserne sursauta et regarda sa main tremblante. Il posa alors son autre main sur celle-ci pour qu’elle arrête de bouger mais apparemment elle continuer à trembler même caché et « plaquer » contre la cuisse du militaire. Qui décida de cacher cette main en la fourrant dans sa poche après avoir jeter sa cigarette sur le sol. Rorry Enchaina :

    « Désolé c’est surement le froid qui la fait trembler comme ca… Va y parle gamin… »

    Le jeune homme ce mit donc a expliquer la situation a son supérieur il lui expliqua que même si ils n’avaient pas encore attaqué des émeutes naissaient aux quatre coins de la ville. Et qu’ils n’aillaient pas tarder à attaquer le palais… Le balafré soupira à nouveau ca ne lui plaisait pas tout ca… Et ce maudit soleil qui ne voulait pas ce montré ! Vraiment ce n’était pas bon car même si les soldats avaient des fusils ils n’avaient pas des tonnes de munitions et le massacre d’hier avait couté cher en poudre et aussi en vie puisqu’une vingtaine de soldats anglais avaient perdu la vie… Une fois la situation résumé il ordonna au jeune homme d’aller ce reposer il s’approcha ensuite du chef des gardes avant de reprendre la parole :

    « Pff ! Foutu nuit… Les gens sont vraiment fous ils ont peurs que le ciel tombe ? S’il devait tomber il serait déjà tombé hier non ? Et le roi et sa femme ! Ils n’ont même pas le courage de faire un discoure devant le peuple ! C’est ca la Couronne d’Angleterre… Pfff il est loin le Temps des grands rois de Bretagnes ! Au fait je parle, je parle mais je ne vous ai même pas demandé votre nom… »

    Il esquissa un petit sourire alors que sa main gauche était toujours entrain de trembler en plein milieu de sa poche… Le chef de la garde ce leva et se frotta le crane avant de répondre :

    « Je m’appel Edward Conway… Et je trouve que vous êtes un peux … Enfin je trouve que vous avez un jugement un peut sévère pour les londoniens et surtout sur notre famille Royale… »

    Le Militaire ce contenta de soupirer et de tourner les talons après avoir sortit un petit « enchanté » il reposa ses fesses sur les deux cadavres de tous a l’heure alors qu’un bruit de fracas s’approcher du Château…

    .............



    Italie : Vatican
    Après Midi du 19 Juin 1856


    Le jour ne s’étant toujours pas levé sur le Vatican malgré le fait que l’Horloge affichait 15 heures. Le Pape Pierre III marchait dans la Grande Bibliothèque il faisait les 100 pas avec un livre dans la main. Evidemment ce livre était une bible. Et plus précisément le nouveau testament c'est-à-dire la partie qui contient l’Apocalypse… Il n’arrêtait pas de lire ce passage qui est surement l’un des plus sanglants de la bible… Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il était anxieux il avait peur comme tous les hommes après tout ce n’était qu’un humain comme les autres il avait le droit d’avoir peur, il avait le droit de douter… Il mordiller sa lèvres inférieur frénétique. Et alors que le silence régner dans la salle des bruits de pas brisèrent ce calme puis la porte de la pièce grinça et le Cardinal Ambrozzi pénétra dans la pièce ses yeux bleu étaient souligné par des rides énormes. Celui-ci n’avait pas dormi de… La nuit… Il s’approcha du Pape. Et posa sa main sur l’épaule de celui-ci qui sursauta. Il n’avait pas sentit ni entendu celui-ci arriver et ce tourna vers lui en soupirant … Il mit une petite ficelle devant la page qu’il était entrain de lire pour ne pas perdre sa page puis il ferma le bouquin avant de ce tourner devant le deuxième homme d’église le représentant du culte regarda l’homme en rouge avant de lui dire :

    « Santu… Je te connais depuis que j’ai 12 Printemps… Alors… Aide-moi… Je suis peux être « Le Saint Pape » mais je reste humain et je ne sais pas quoi dire… Je dois faire un discoure avant 17 heure et je ne sais pas vraiment quoi dire… Après tout je n’en sais pas plus qu’eux… Moi aussi j’ai peur… Moi aussi je suis terrifié alors qu’est ce que je dois faire… »

    L’homme s’approcha d’une chaise et posa rapidement son saint popotin sur celle-ci… Il sentait ses jambes le lâcher il était bien trop stressé et ses yeux commençaient a devenir humides… Il ce frotta ensuite le haut du crane et plongea ses yeux dans ceux du Cardinal qui lui était resté debout. Celui qui semblait être un vieil ami du Pape prit donc la parole :

    « Je ne peux pas t’aider Philipe… Essaye d’être honnête… Dit leurs ce que tu pense sans pour autant être trop direct… C’est peut être le seul conseil que je peux te dire l’ami… »

    Le Pape fit un oui en hochant la tête et demanda au Cardinal de quitter la pièce pour le laisser réfléchir… Philipe alias Pierre III s’approcha de la fenêtre et observa les ténèbres de la nuit pendant dix longues minutes puis quitta la bibliothèque pour retourner dans sa chambre tout en gardant sa bible à la main. Une fois dans sa chambre il passa son visage sous l’eau et regarda longuement son reflet dans le miroir il passa l’eau une deuxième sur son visage. Quelques minutes après il ce remit à lire sa bible… Une s’écoula… Puis deux… Après ces deux longues heures qui semblaient apparemment interminable le Pape s’approcha de la fenêtre. Et décida de faire son discoure la foule se massa devant la fenêtre c’était rare de voir autant de pèlerin dans la place St Pierre… Il prit donc la parole :

    « Mes enfants j’ai longtemps réfléchit. An l’An 0 le Messie est venue au monde. Jésus est venu au monde. Tout au long de sa vie il a prêché la parole de dieu. Et dieu a dit « Tu ne Tueras Point »… « Tu aimeras ton prochain »… Mais… Est-ce que l’on a suivit ses enseignement… NON ! Les hommes ont continué à tuer sans scrupules. Ils se sont fait la guerre ils se sont entre tué pendant des années. Alors maintenant j’en ai l’intime conviction. Dieu a fait disparaitre le jour pour nous punir. Il nous a donné une nuit de Grand Pardon ! La nuit ne s’arrêtera pas tant que l’humain continuera à être une montre… Tant qu’il s’entre tuera et je suis persuadé que vous en êtes incapable… Alors maintenant je vous laisse méditer sur votre erreur mes enfants… »

    Il tourna ensuite le dos à la foule et passa a coté du Cardinal Ambrozzi qui l’observa avec des yeux énormes. Il n’avait pas reconnu son ami pendant son discoure… Il avait changé… Qu’est ce qu’il s’était passé en trois heures ? Etrange… Vraiment Etranges … Il voulu parler a son ami mais celui-ci l’évita et partit directement vers sa chambre. Il s’enferma dans celle-ci et commença à lire plusieurs prière tel que le notre père ou le Je vous salut Marie… Ambrozzi ne chercha pas plus loin et le laissa en paix… La Seule personne à pouvoir voir comment le pape était fut sa femme de chambre qui elle était restait dans la salle. Elle peut voir un Pape effondré qui se mit rapidement a pleuré comme un nourrisson elle resta loin de celle-ci ne préférant pas le déranger….


    .............


    Etat Unies D’Amérique : Washington D.C
    Soir du 19 Juin 1856


    Ces Ténèbres ambiantes n’avaient pas touché que la vieille Europe puisque même les Jeunes Etats Unies d’Amériques étaient touché par cette catastrophe heureusement le problème était mieux géré grâce au lampes a pétroles et a la toute nouvelle électricité qui avait en quelques sorte sauvé les grandes villes telles que New York ou dans le cas présent Washington DC la Maison blanche était par contre entouré de soldats armées jusqu’aux dents et prêt a tiré… Pourquoi ? A cause des nouvelles venu de Grande Bretagne le gouvernement Américain avait peur qu’il ce passe la même chose chez eux et était donc paré toutes éventualité ! Dans cette fameuse maison blanche on pouvait voir un homme assis dans les célèbres bureaux ovale il écrivait sur un cahier noir il s’agissait du président Fillmore qui était revenu de ses vacances d’été d’une manière précipité il ce mit a feuilleter doucement un livre qui ce trouvait a coté de lui jusqu'à ce qu’un de ses conseillé vienne frapper a sa porte il du faire ca deux ou trois fois avant que le président ne l’autorise a rentré celui-ci était tellement concentré qu’il avait oublier de parler le dit conseiller était plutôt vieux il devait avoir la soixantaine peux être plus il soupira en regardant son président assis devant son bureau un bouquin dans les mains. Le conseiller posa ses fesses sur la chaise en face de son cher président et attendit quelques minutes avant de prendre la parole :

    « Mr le président… La situation deviens critique… Les Techniciens l’affirment. Les réserves Electriques qui illumine New York, Washington et le New Jersey ne tiendront pas plus de cinq jours… Qu’allons-nous faire si c’est le cas ? On ne peut pas laisser les gens livrez a eux même sinon il va se passer la même chose qu’a Londres… »

    L’homme le plus puissant des Etats Unies ferma donc le bouquin qu’il était entrain de lire et ce leva il tourna ensuite le dos a son conseiller pour regarder par l’immense baie vitrée. Au bout d’une ou deux minutes il ce retourna pour regarder le vieil homme et s’approcha un peut de lui. Il sortit alors une boite de cigarette de sa poche droite et alluma une pipe… Et après ca il ce décida enfin a répondre a la question !

    « Et bien c’est fâcheux… J’espère que cette « Nuit » va s’arrêtez avant que l’on ne soit a cour mais partit comme ça l’est je ne pense pas que ce sera le cas et c’est encore plus fâcheux… Mais ce n’est pas en postant des molosses armées jusqu’aux dents autours de la Maison blanche que l’on va calmer la population elle a déjà l’air tendu. Sinon on ma fait un résumé du discoure du Pape Pierre III celui-ci n’a rien fait pour calmer la population au contraire il aurait peut tenir un autre discoure… Je pense qu’a l’heure actuelle la seule chose que je puisse faire c’est… Attendre…»
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La prophétie des Ténèbres Vide
MessageSujet: Re: La prophétie des Ténèbres   La prophétie des Ténèbres EmptyDim 18 Jan - 22:53

3e Jour


    France : Paris
    Matin du 20 Juin 1856


    Paris… Capitale du Second Empire. Heureusement pour l’Empereur il n’y avait pas eu les mêmes émeutes qu’à Londres d’ailleurs pour empêcher ca on avait distribuées de vieilles lampes et des vivres pour tenir une semaine. Grâce a ca la population qui au début était assez agité c’était calmer et tous le monde était partit chez soit ou dans les bars. Car beaucoup d’hommes s’étaient précipité dans les Bars pour noyer leurs inquiétudes dans l’alcool. C’était le cas dans le Bar du « Rond Point » une cinquantaine de personnes étaient venu dans celui-ci et avaient bue toute la nuit et maintenant l’établissement était vide. Enfin presque vide car au milieu des chaises et des tabourets on pouvait voir une jeune fille vraiment magnifique. Celle-ci était affalée sur le comptoir la tête caché par ses deux bras elle avait néanmoins un verre de Whisky à la main et au bout de quelques minutes elle mit celui-ci verre la Lampe qui ce trouvait a quelques mètres d’elle puis leva les yeux pour regarder le verre qui était maintenant a moitié vide. Elle se mit alors à bouger doucement celui-ci en regardant les glaçons glisser doucement dans le verre. Après une ou deux secondes elle arrêta de bouger son verre et planqua à nouveau sa tête entre ses deux bras. Au même moment un homme plutôt gros portant un tablier couvert de tache ce dirigea vers cette jeune femme il la secoua légèrement puis prit la parole :

    « Hey ! Mademoiselle ? Hey Oh ? Il est déjà 9h30 du Matin vous êtes la depuis hier soir. Vous devriez rentre chez vous M’Zelle ! Ce n’est pas bien de trop boire hun… »

    La jeune femme qui ne bougea pas d’un poil. A croire qu’elle n’avait pas entendu celui qui apparemment était le chef d’Etablissement. Celui-ci posa sa main sur l’épaule de cette jeune femme et la secoua à nouveau. Celle-ci éleva alors le bras du barman d’une manière plutôt agressive puis se redressa doucement avant de passer sa main dans sa longue chevelure. Le Barman qui n’avait pas encore vu le visage de sa cliente fut étonné de voir une aussi belle femme. C’était très rare pour lui de voir ce genre de femme dans son bar. D’habitude celle-ci ce trouvaient plutôt dans les Quartiers bourgeois de la capitaine Française et elles ne buvaient que très rarement enfin bref la jeune femme ce releva et lui dit :

    « C’est bon… C’est bon… et puis la nuit est pas terminé… Et elle ne risque pas de s’arrêter… Alors c’est bon servez moi un nouveau verre de Whisky Patron… J’ai soif… »

    Mais au lieu de la resservir le patron lui enleva le verre de Whisky des mains de la jeune fille et sortit un autre verre. Il remplit alors celui-ci d’eau et soupira avant de le tendre a la jeune femme qui ce trouvait devant lui. Il fit ensuite le tour du comptoir pour s’assoir a coté d’elle avant de lui dire :

    « Si vous avez soifs buvez de l’eau M’Zelle ! Ce n’est pas bien pour une jeune femme comme vous de boire autant. Je suis peux être le patron mais je ne veux pas de femme ivres dans mon établissement un ! Au fait c’est quoi votre p’tit nom M’Zelle ? Moi c’est Marcel Ournac… »

    La jeune femme soupira puis regarda longuement le verre d’eau qui ce trouvait devant elle. Et la un léger sourire se dessina sur le joli visage de la jeune brune. Qui serra la main du Barman qui ce trouvait juste devant elle avant de dire avec une voix beaucoup plus douce et amusé que tout a l’heure :

    « Et bien Mr Ournac. Enchanté je m’appel Dana… J’ai un léger problème avec l’alcool… »

    Le Patron regarda légèrement la jeune femme un peut rassurez elle ne semblait pas trop réticente et l’alcool ne l’avait pas encore rendu folle comme beaucoup d’hommes. Il soupira et toussa deux ou trois fois. Il s’agissait d’une toue grasse qui semblait plutôt ancienne puisqu’il avait l’air d’être habituer a ce genre de détriment. Après ca il rigola légèrement avant de ce calmer et de demander a la jeune femme :

    « Dana ? Jamais entendu ce nom la M’Zelle c’est Français ? Vous venez d’où ? »

    C’est vrai que Dana n’est pas un nom que l’on entend partout. Et surtout pas en France au 19e Siècle. La jeune femme esquissa un sourire et avala l’eau qui ce trouvait dans son verre cul sec puis elle passa doucement ses mains fines dans sa chevelures avant de répondre a son interlocuteur :

    « Effectivement ce n’est pas un prénom Français. Il est Danois. C’est mon défunt Père qui la choisit a cause de ses origines Danoise. Il parait que là-bas c’est un prénom courant… Sinon en rentrant j’ai lue que votre établissement était aussi une auberge Mr Ournac. J’ai de l’argent alors est ce que vous avez une chambre de libre ? »

    Le Gérant du Bar soupira et esquissa ensuite un énième sourire puis il marcha doucement jusqu'à une porte en bois. Celle-ci semblait plutôt vieille et usagé il ouvrit celle-ci et la brune peut alors apercevoir un petit escalier en pierre très étroit. Le patron du « Rond Point » pointa alors le haut de cet escalier du doigt en disant à la jeune femme :

    « Allez venez M’Zelle Dana c’est par la les chambres. Et vue que vous m’avez l’air sympathique je vous offre la… Bah la nuit… Vu qu’apparemment le soleil n’est toujours pas lever… »

    Marcel saisit alors une bougie et commença à monter les escaliers. Dana ne tarda pas à la suivre mais avant elle attrapa quelque chose sur le comptoir et le dissimula très rapidement dans son long manteau de tissu. Au bout de quelques minutes Marcel et elles arrivèrent dans la dites chambres. Elle n’était pas grande mais elle semblait être confortable et bien entretenue au milieu de celle-ci il y avait un petit lit. Dans un coin on pouvait voir une petite étagère et dans l’autre un minuscule bidet d’eau. Dana posa alors une petite valise et posa ses fesses sur le canapé derrière elle. Lorsque le Barman quitta la salle elle fit un bon et ferma utilisa le verrou de la porte pour fermer celle-ci. Une fois en « sécurité » elle sortie une bouteille de Whisky qu’elle avait volé sur le comptoir elle ôta le bouchon et ce mit à boire celle-ci….

    ..................................


    Saint Empire de Russie : St Petersburg
    Après Midi du 20 Juin 1856


    La Russie étant un pays comme les autres elle était elle aussi privé de soleil depuis presque trois jours. Les Emeutes avaient éclaté mais elles n’intéresser guères les Nobles de la Capitale de Printemps de Saint Petersburg ce qui les inquiétaient c’était surtout les ténèbres ambiants. L’armée Russe avait était réuni autours de la Sainte Ville et beaucoup de soldats étaient parties aux frontières du pays. En effet les Polonais seraient entrain de profiter de cette nuit permanente pour s’approcher un peut plus du cœur de l’Empire Russe ! D’ailleurs dans le Palais impérial le Tsar de Russie Nicolas II faisait les 100 pas il ce disaient qu’une fois que les paysans aurons fini de piller toutes les réserves de Moscou ils finiront simplement par venir a St Petersburg et malheureusement il y a beaucoup d’habitant dans la Moskova et si ils se lèvent tous les soldats Impériaux seront rapidement débordé du moins si ils ne se rebellent pas contre le descendant d’Auguste. Bref tous ca l’inquiéter et sa pauvre femme Marie Sophie ne pouvait que le regarder avec des yeux tous ronds ect. Tout a coup l’immense porte qui devait mesurer dans les 5 mètres s’ouvrit lentement et un prêtre Orthodoxe pénétra dans la salle il était suivit par un autre prêtre qui lui portait une coiffe noir entouré de dorure et il avait dans la main un beau spectre en or il marcha donc jusqu'à l’Empereur puis passa sa main droite dans sa longue barbe grise tout en plongeant son regard dans celui de L’empereur de toutes les Russies il prit enfin la parole :

    « O Grand Empereur de toutes les Russies. Moi Nicolaï Kozlov Grand prêtre de l’Eglise Orthodoxe de Saint Petersburg et mon assistant sommes venu la pour te parler de la situation actuelle en Europe. Le Monde est plongé dans les Ténèbres. Et il parait que le Pape maitre spirituel des Chrétiens a fait un discoure très inquiétant. De plus les Russes ont peurs. Ils veulent des explications. Je vais que vous êtes un Empereur proche du peuple. Un Empereur qui aime la Vérité et la Vertu mais au nom de la Sainte Russie. Je vous demande de mentir à votre peuple. Il a peur alors autant le bercer d’illusion pour le faire patienter ! De plus si ils voyant que vous êtes faibles les Nihilistes et les Anarchistes du royaume gagnerons en puissance et vous le savez ca ne n’est pas bon pour moi et pour vous aussi ! Ce sont de vrais démons qui ne croient en rien a par en leurs prétendue idée diaboliques ! Vous le savez ô Grand Tsar. Plus d’une fois ils ont voulu vous voir disparaitre ses sales chiens. Souvenez vous de l’attenta du train ! Des milliers de Nobles se sont fait tué et même votre frère Nicolas a péris dans l’explosion. Vous êtes un Grand Empereur ! Vous êtes le Tsar de toutes les Russies et si vous ne voulez pas que votre royaume tombe dans l’oublie et dans l’anarchie vous devez mentir au peuple et lui dire que tout va bien ô grand Alexandre II ! »

    Le Prêtre posa alors un genou à terre et il baissa la tête devant le maitre de la Russie. Apparemment il attendait une réponse. Mais ce n’est pas la personne visé qui répondit a la question du vieil homme a la longue Barbe en effet la femme du Tsar qui était entrain de tricoté dans un coin de la Grande salle c’était levé d’un trait. Celle-ci s’approcha du prêtre puis elle passa sa main droite dans sa magnifique chevelure blonde comme le soleil d’été.

    « Mon Maris ne peux pas accepter de telle Chose Mon père ! Nicolas a toujours aimé son Peuple et il lui a toujours la vérité et il doit lui dire la vérité même si la situation est critique peux être que le peuple se calmera en voyant que leurs Empereurs vie la même chose qu’eux… »

    De bien belles paroles pour une femme venue tout droit de Prusse Orientale. En effet elle était la fille d’un grand duc Allemand et en la mariant avec celui qui a l’époque était le descendant du trône de Russie les Prussiens espérer pouvoir sceller une bonne alliance avec les russes. Il y avait eu alliance mais l’alliance avait craqué alors que le mariage lui avait tenu. Le Prêtre lui n’écouta pas vraiment la jeune femme et ce releva devant celle-ci il continua a passer sa main dans sa longue barbe avant de répondre a la Tsarine.

    « Avec tous le respect que je vous dois je ne pense pas que ce soit a vous de prendre les décisions n’est ce pas ô grand Tsar de toute les Russies ? »

    La jeune femme grogna et repartit vers sa table pour continuer de coudre tout en gardant un œil sur ses trois petites têtes blondes qui étaient les futurs Princes et Tsars de Russies. Le Tsar en Question resta muet et s’approcha a nouveau de son prêtre avant de faire volte face et de regarder par une grande vitre… Au bout de cinq minutes de silence il prit enfin la parole :

    « Et bien… Vu que la Situation est critiques je ne peux qu’êtres d’accord avec vous Nicolaï je suis désolé ma mie mais le Grand Prêtre Nicolaï n’est pas qu’un simple prêtre il est aussi mon conseiller et je préfère l’écouter lui plutôt que toi… Je ferais un discoure demain a 10 Heure du Matin faites passer le mot… Sur ce je n’ai pas beaucoup dormis alors je vais me reposer alors je vais vous laissez… »

    Le Tsar tourna le dos au prêtre puis sortit de la pièce avant de se diriger vers ses appartements. Après ca le prêtre s’approcha lentement mais surement de la Tsarine puis il passa sa main ridé dans les cheveux blonds de la Reines qui ne peux s’empêcher de frissonner puis le prêtre s’éloigna de la jeune femme avant de lui dire :

    « Vous êtes Très Belles ô ma Reines votre maris a bien de la chance… »


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    Grande Bretagne : Endroit Inconnu
    Soir du 20 Juin 1856


    La Nuit était toujours la… Les Ténèbres avaient fait de la Terres leurs royaumes. Et au milieu de ces ténèbres en pleines campagnes anglaise on pouvait voir un Train. En mauvaise Etats… En très mauvaises états. Et dans ce véhicule on pouvait voir une bonne centaine de soldats armes a l’épaule. Et parmi ses soldats on connait facilement le Chef de Caserne Rorry Mc Brie pourquoi ? Comment ? Peut être grâce a son énorme balafre qui traverse son visage fatigué et cerné ou peut être que c’est a cause de cette cigarette qui dépasse de ses lèvres. Enfin bref celui-ci était assis dans un coin du Train juste a coté d’une fenêtre brisée. Il regarder cette lune qui n’avait pas disparu depuis presque 3 Jours elle était vraiment magnifique. Même si elle n’était pas encore pleine elle commençait a ce remplir et c’était peut être la seule lumières pour bien des hommes sur cette planètes. Et alors qu’il était prit dans ses pensé un homme arriva et posa ses fesses a coté de lui avec une assiette qui était apparemment faite de porcelaine. Celle-ci était remplit de légumes bouillit l’homme esquissa un petit sourire et tendit cette assiette a Rorry qui observa la nourriture avec envi le jeune homme prit alors la parole :

    « Tenez Mr Mc Brie j’ai pensais que vous deviez avoir faim et vu que vous ne veniez pas dans le compartiment ou la bouffe était servit et bien je l’ai pris pour vous … Tenez… »

    Le Chef de Caserne esquissa un petit sourire et acquiesça il remercia le jeune homme et tendit sa main gauche pour prendre l’assiette mais au moment de saisit celle-ci sa main commença à trembler sans comme il la veille. Voulu remettre celle-ci dans sa poche mais manqua de renverser le plat Rorry eu tout de même le reflexe de rattraper l’objet avec sa deuxième main il fit un petit sourire au jeune homme. Il semblait tout de même gêner mais ne le laisser pas paraitre. Il saisit une cuillère et avala une boucher de légume avant de sourire au gamin qui ce trouvait devant lui et de lui dire :

    « Hey c’est sympa d’avoir pensé a moi le Bleu. Même si je n’étais pas entrain de crever de faim ca fait du bien. En tous cas je suis content on est plus obliger de défendre ce foutu palais… mais bon on nous ordonne de quitter Londres pour allez ou ? Sur une autre ville remplit d’Emeutier et cette fois pour défendre le roi et sa chienne de femme… Pfff »

    Il continua donc a manger son plat alors que le Train lui était entrain de mener les soldats Anglais déjà fatigué sur un nouveau Champ de Bataille. Depuis le début de cette catastrophe l’Angleterre était la plus toucher et on peut ce demander comment le pays allait ce remettre si Jamais le soleil revenait un jour….
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MessageSujet: Re: La prophétie des Ténèbres   La prophétie des Ténèbres EmptyJeu 22 Jan - 22:35

    France : Paris
    Matin du 21 Juin 1856


    Il devait déjà être 10 Heures voir 10 Heures et demi dans la capitale à vrai dire c’est dure de savoir l’heure puisque la nuit est présente toute la journée. Enfin bref les rues de Paris étaient quasiment vides seuls quelques parisiens osaient sortir pour aller acheter du pain ou d’autres provisions. De plus comme si l’obscurité ambiante ne suffisait pas la pluie ce mit à tomber dans les rues de la capitale Française. Mais malgré les ténèbres et la pluie on pouvait voir une personne marcher sous des trombes d’eaux elle portait un long ciré marron et son visage était en partit caché par une Capuche une très longue capuche. Néanmoins en s’approchant de plus prêt on peut tout de même distinguer un corps de femme dissimulé sous ce long veston. Cette jeune femme s’approchait d’un grand bâtiment. Celui-ci semblait être immense, la façade était en marbre mais celui-ci semblait avoir perdu de sa beauté un peut comme les statues d’Anges, de gargouilles ainsi que nombreux autres monstres mythologiques. D’ailleurs une fois arrivé sous ce porche le mystérieux personnage ôta sa capuche et le visage qui ce cacher en dessous de celle-ci ne nous est pas vraiment inconnu ! Il s’agit de celui de Dana. Celle-ci s’approche alors d’une grande porte en bois incrusté de dorure ! Le bois est pourrit mais a une époque aucun doute. Il a étais magnifique. Et alors que la porte n’est même pas encore ouverte une douce mélodie ce fait entendre. Celle-ci d’un Orchestre qui apparemment a l’air doué. Comme envouté par cette mélodie Dana poussa la porte et ce mit à avancer dans un long corridor remplit de portrait représentant des personnes diverses et varié mais qui semblent tous être d’un niveau social relativement élevé. Après de longues minutes de marches elle arrive dans un amphithéâtre. Au milieu de la scène ce trouve un homme qui tourne le dos au « publique » il est vêtu d’un costard noir et ses cheveux bruns lui arrivent jusqu’aux épaules. Il agite les mains de haut en bas et de droite a gauche pour donner la mesure a un bien drôle orchestre en effet il est entourait de plusieurs musiciens qui ne semblent plus vraiment comment dire… Humain… Oui… Les membres de cette orchestre ne sont rien d’autre qui des squelettes. Bien des gens auraient peut être épouvanté par ce spectacle macabre mais ce n’était pas le cas de Dana qui descendit l’aller principale pour s’assoir a quelques vingtaines de mètres de la scène. Une fois assise elle se contente de fermer les yeux pour écouter la douce mélodie… Cet Orchestre étaient entrain de jouait le Requiem de Mozart tels des messagers jouant le Requiem de notre planète… Enfin c’est une éventualité comme une autre…



    Une fois le morceau fini l’homme qui n’avait pas encore remarqué la présence de cette belle invitée. Et alors qu’il allait ouvrir un livre de partitions la jeune femme ce mit à applaudir et l’homme sursauta légèrement. Il ce retourna doucement et a ce moment la le drôle d’Orchestre disparu… En une fraction de seconde… L’homme posa son livre de partitions sur le pupitre qui ce trouvait juste en face de lui et descendit de l’estrade pour s’approcher doucement de la jeune femme qui elle aussi ce leva. Au bout de quelques minutes ils ce retrouvèrent face a face. L’homme observa la jeune femme de haut en bas. Vu sa réaction il ne l’avait jamais vue il lui demanda alors d’un air inquiet mais plutôt intrigué qui elle était et pourquoi elle était venu mais la brune que l’on avait déjà croisé dans une auberge mit son index devant la bouche du chef d’Orchestre et dit avec une voix douce :

    « Chut… C’est moi qui devrais vous posez des questions. Mais vu que je suis une gentille femme. Je vais vous répondre. Je m’appel Dana Longueville. Vu le spectacle que vous m’avez offert tout a l’heure je suppose que vous êtes Malo D’Armagnac. On ma dit que vous étiez surement le seul à pouvoir me répondre… En effet je cherche une personne bien précise et je n’ai qu’un seul indice… Quelqu’un a que vous pourriez m’aidez… »

    Elle déplia ensuite une vieille feuille jaunie et complètement froissé d’une des poches de sa veste. Puis elle le déplie on peut voir que celui-ci a dure en duré de drôle de souffrance ! Elle le tendit a l’homme qui ce trouvait en face d’elle et qui était encore un peut surprit celui-ci saisit alors le papier et sure celui-ci on pouvait lire :

    O fortune
    Comme la lune
    Tu es variable
    Toujours croissante
    Et décroissante
    La vie détestable
    Opprime d'abord
    Et apaise ensuite
    Comme la fantaisie la prend
    Pauvreté
    Et pouvoir
    Elle les fait fondre comme la glace


    Le jeune homme sursauta encore une fois apparemment il connaissait ce texte il se calma et reprit la parole :

    « Il s’agit d’un Extrait du Carmina Burana. Un recueil de poème du 12 siècle. C’est Johan Andréas Schmeller un allemand le premier a les avoirs tous rassemblez et traduit en Français et en Allemand. La partie que vous m’avez donnée provient du morceau que les lecteurs on le plus aimé c'est-à-dire « ô Fortuna »… Mais si vous ne me dites pas de quoi il s’agit je ne pourrais pas vous aidez Mlle. Vous devriez me dire qui vous cherchez au moins…Je pourrais… »

    Encore une fois la jeune femme mit son Index devant les lèvres du jeune homme elle saisit la main de celui-ci et glissa dans celle-ci un deuxième papier puis elle tourna le dos a celui-ci et ce mit à marcher vers la sortit laissant le Chef d’Orchestre en plant. Celui-ci ouvrit le petit papier et put lire un nom sur celui-ci. Mais en lisant celui-ci ses yeux devinrent tous rond …. Et il en oublia presque la jeune femme qui lui annonça qu’elle reviendrait dans deux ou trois jours…Mais quel était bien ce nom ?

    Saint Empire de Russie : St Petersburg
    Après Midi du 21 Juin 1856


    Dans le Palais Russe tout s’activait des gens courraient partout pour préparé le Discoure du Grand Tsar de Russie qui avait déjà était retardé de cinq heures a cause d’un accident imprévue le Tsar lui était au milieu d’une Grande salle et tout prêt de lui on trouvait sa femme et son fils tous deux en habilles d’apparat. Juste a coté du Tsar on retrouvait le Grand Prêtre qui était entrain de murmuré plusieurs choses au Tsar de toute les Russies. La Tsarine s’approcha un peut d’une vitre et peut apercevoir une foule immense devant le palais. Celle-ci était composée de riche, de pauvres et même de Soldats. Apparemment ils voulaient tous entendre la voix de leur roi qui s’était tue depuis le début de notre drôle d’histoire. Au bout de vingt bonne minute les gardes allumèrent une bonne dizaine de torche histoire d’illuminer les lieux encore perdu dans les ténèbres. Le Roi s’approcha de la fenêtre et apparu enfin au balcon certains ce mirent a l’applaudir d’autres le huèrent comme si il était le responsable de tous leurs soucis. Alors que les gardes eux restaient stoïque a droite et a gauche du descendant des Empereurs Romains ! Il prit enfin la parole devant cette foule en délire.

    « Comme vous avez du le voir mes chers sujets la Russie et le Reste du monde est plonger dans les ténèbres mais tous mes experts l’affirmes cela ne durera pas longtemps tous les scientifiques, les prêtres sont formelles ce n’est qu’un Test pour voir la puissance de la Grande Russie. Oui car ne vous inquiétez pas ce ne sont pas ces tenèbres qui vont embreler le Grand Empire Russe. Donc je vous le demande ne cédais pas a la panique pour riens mes chers sujets. Les Soldats feront tout pour vous protégez. Mais comme vous le savez les Soldats ne sont pas immortels et ils ne sont pas illimité alors ils ne peuvent pas être partout… Ils ont besoin d’aide car depuis trois jours les Polonais ces chiens sont rentrés dans nos terres. Ils pensent que les tenèbres sont avec eux et qu’en avançant dans la pénombre ils pourront gagner contre les vaillant Cosaque du grand Tsar Nicolas ! C’est donc pour ca que je demandes a tous les hommes voulant gagner trois pièces d’or a la journée de rentrer dans l’armée temporaire de votre Tsar. Faite le pour moi. Faite le pour la Russie. Faite le pour votre liberté ! Engagez vous… Sur ce je vous demanderais aussi d’être calme et de ne pas céder a la panique. Je pense que je ne peux rien dire d’autre car je vie la même chose que vous… »

    Après son discoure le Tsar tourne le dos a la foule qui l’acclame du moins en grande partie car tout a coup un coup de feu éclate et une balle passe a quelques centimètres du maitre de la Grande Russie. L’homme qui a tiré est couvert par une longue capuche et a le bas du visage caché par une longue écharpe il fuit en courant alors que les gardes impériaux lui cour après dans l’espoir de l’attraper. Le Tsar lui rentre vite dans le Palais et il est rapidement rejoint par le Grand Prêtre qui vient la félicité. Il lui dit qu’en mentant sur la situation actuelle de la Russie les gens l’aimeront encore plus et que c’est aussi un moyen de gonfler les troupes du Royaume. Mais cela ne plait pas a l’Impératrice qui ce lève rapidement et qui gifle le religieux avant de retourné dans ses quartiers suivit de son fils….

    Japon : Edo
    Soir du 21 Juin 1856


    Dans les rues de la plus grande ville du Japon un homme marche et ce faufile dans une foule celui-ci est bien caché il porte une capuche et une longue veste ciré. Un peut comme celle que l’on avait vu a Karnak apparemment celui-ci est pressé et il ne veut pas qu’on l’aperçoive ? Pourquoi donc ? En voyant ses yeux ont ce rend rapidement compte qu’il n’est pas Asiatique et qu’il vient donc d’Europe ou des toutes Jeunes Etats Unies d’Amériques ! Celui-ci fini par arrivé dans un grand Temple Shinto il soupira et ôte sa capuche on peut alors apercevoir un homme avec des cheveux rouges comme les feux il a un œil en moins enfin on ne le sait pas vraiment mais on le devine car il porte sur son œil gauche un bandeau rappelant celui que porte les pirates. Il rentre et s’agenouille avant de tourner la tête dans l’ombre on aperçoit un vieil homme.

    « J’ai enfin eu un message de nos frère de Carnac la nuit est aussi tombé en Europe et ils ont enfin besoin de notre aide dès demain il faudra partir pour Aokigahara... Pour y retrouvez les pierres…

    L’homme qui ce trouvait dans l’ombre esquissa un petit sourire avant de rentrer dans une chambre…
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