| Sujet: La prophétie des Ténèbres Sam 17 Jan - 21:47 | |
| Cette Fan Fic est plutôt spécial. Elle est basé sur plusieurs personnages vivant dans différents pays et ayant tous un passé et un caractère relativement différent. Elle décrit leurs comportement face a un certain evenement plutôt étrange. C'est plutôt difficile a expliquer x_x 1er Jour Italie : Vatican Matin du 18 Juin 1856
Il devait être 11h du Matin et pourtant les ténèbres règnes toujours dans les couloirs de la Ville Sainte du Vatican. Mais tout à coup une petite lumière rouge apparait. C’est une torche. Et évidemment elle est tenue par un jeune homme. Celui-ci porte une Soutane et marche d’un pas rapide dans les couloirs. Il semble chercher une personne en particulier. On peut lire une certaine anxiété sur le visage de ce qui semble être un jeune prêtre. Au bout d’une bonne dizaine de minute il arrive essoufflé devant une porte en bronze richement décoré. Il frappe dessus d’une manière brutale comme pour être sur que la personne qui ce trouve dans la salle d’en face va ouvrir après quelques minutes un homme assez vieux portant un bonnet de nuit ridicule et tenant une bougie dans la main droite ouvre la porte et répond au jeune homme plier en deux surement a cause de l’effort qu’il vient d’effectuer.
« Allons, allons frère Lorenzo que ce passe il ? Pourquoi venez vous me dérangez au bon milieu de la nuit ! »
Le jeune homme qui se nomme donc Lorenzo reprend son souffle et il ce remet droit devant l’homme au bonnet de nuit il s’appuyé ensuite contre le mur a sa gauche et dit a l’homme :
« Justement mon père ! Il ne fait pas nuit ! Il est Onze Heure passé ! Et le jour n’est pas encore arrivé. Les gens son affolés et certains prêtre annoncent même l’apocalypse ! Tous le monde pense que c’est la fin du monde… C’est Horrible. Le Cardinal Ambrozzi aimerait vous voir mon seigneur le Pape. Je suis donc venu vous prévenir…. »
Devant de telles paroles l’homme au bonnet ridicule qui était en fait le Pape fait un bon en arrière. Un sentiment de surprise et de peur peut se lire sur son visage… Que ce passe il ? Comment va il géré cette situation. Il rentre dans sa chambre et commence à tourner en rond. On peut comprendre… LE Stress l’envahi… Il ce tourne et dit au jeune homme. L’homme demande alors au dénommé Lorenzo de sortir pour lui laisser le temps de s’habiller et de mettre ses habilles d’apparat ! Comme promis l’homme ouvre un placard et enfile tous les vêtements qui font de lui le représentant du dieu des Chrétiens sur cette Terre. Une femme de chambre l’aide en effiler tout ca et alors qu’il s’apprêtait à mettre sa coiffe de prêtre il s’approche de la grande fenêtre de sa chambre et observe les ténèbres. Aucun signe de soleil... Seulement une demi-Lune brillant de tous ses éclats. Personne n’aurait peut deviner qu’il était 11 heures si les montres n’existaient pas… Non personnes… Enfin bref étant habillé il sort et suit le jeune prêtre jusqu'à ce qui semble son bureau. Il pousse une énorme porte en acier tremper et ce retrouve face un autre vieil homme vêtu de Rouge c’est lui. C’est le Cardinal Ambrozzi. Il regarde l’autre homme et soupire avant de dire ces quelques mots :
« Mon Seigneur… Vous êtes le Pape… C’est vous le représentant des Chrétiens d’Europe et du monde. La foule est en panique. Les rues de Rome sont remplit de gens qui hurlent ! Et regardez à la fenêtre ! La foule veut voir le grand Pape Pierre III ! Vous devez les rassurez… Faites un discours écoutez les hurlez ! Ils ont besoin d’être guider… »
« Mais… Mon frère je n’ai eu vent de cette affaire qu’il y a une dizaine de minute je ne peux rien dire. En tous cas pas dans l’immédiat… »
Mais il est coupé par le Cardinal qui lui dit de regarder la place Saint Pierre depuis la fenêtre. Il s’exécute et a devant lui un spectacle des plus étonnants. En effet la place est remplit. Les portes du Vatican ont étaient brisé et des milliers des catholiques sont venu dans la Place Saint Pierre dans l’espoir de voir le Pape et dans l’Espoir d’être sauver. Les Gardes Suisses ont étaient débordé et sont obliger de garder la porte qui mène vers les appartements. Mais alors que le pape regarde par la fenêtre un homme en contre bas l’aperçois la fenêtre puis un deuxième. Ceux-ci ont vite fait de rependre la nouvelle dans la foule qui ce met à hurler « PIERRE III ! PIERRE III » d’autre eux hurlent que l’apocalypse approche alors que certains eux sont a terre et lisent des versets de la Bible… Devant un tel spectacle le Pape reste bouche bée… Il ne sait pas quoi dire… Il ne sait pas quoi faire… Il ne peut pas faire un discoure alors qu’il ne connait pas la situation mais il ne peut pas non plus laisser les gens comme ca… Dans la peur et la folie. Il ouvre la fenêtre et demande le silence en claquant plusieurs fois des mains mais rien ils hurlent toujours apparemment le brouhaha couvre le bruit que fait l’homme d’église. Il fait alors venir des crieurs et des hommes pour sonner les trompettes ! Après un puissant bruit de trompette la foule ce calme et le représentant des Catholiques du monde entier peut enfin prendre la parole…
« Mes chers Fils… Mes chers frères… Mes chères sœurs écoutées. Ce matin je me suis levé et comme vous j’ai cru qu’il faisait encore nuit ! Je n’ai étais informer de cette situation qu’il y a quelques heures et au nom du seigneur je vous demande de ne pas céder a la panique générale ! Si c’est l’œuvre de dieu alors elle ne peut pas être mauvaise. Non peut être est ce dieu qui nous met a l’épreuve il veut peut être voir notre amour envers lui et envers les hommes… Je peux juste vous dires une chose ne faites pas de dégâts arrêtez d’hurler a l’Apocalypse. Calmez-vous… Rentrez chez vous ou encore allez dans vos églises et priez le seigneur… Je reparlerais dans la journée… Sur ce je vous dis au revoir… »
Après ce cour discoure un prêtre vient prendre la place du Pape et ce met a prié la foule et légèrement calmé même si quelques malins hurlent toujours et cours dans tous les sens. D’après ce que l’on dit les rues de Rome étaient en proie a la paniques et plusieurs maisons avaient étaient pillé…
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Grande Bretagne : Londres Après Midi du 18 Juin 1856
Apparemment Rome n’est pas la seule ville d’Europe touché par les ténèbres c’est aussi le Cas de la Capitale Anglaise qui est toujours sous les ténèbres a 2 heure de l’après Midi. Et comme a Rome on peut voir des scènes dignes de l’apocalypse. Les vieux quartiers pauvres sont submergés par la foule et les magazines prient d’assaut par les pauvres qui ont peur de manquer de nourriture si le soleil ne revient jamais. Les scènes sont vraiment apocalyptique et on voit des policiers ce faire complètement écraser par les la foule qui veut absolument faire des provisions ou tout simplement hurler a la mort. Devant le palais Royale les gardes ont du boulot. Les émeutes s’approchent du château et apparemment les pauvres en veulent a la famille Royale une cinquantaine d’hommes ce sont approché des grilles mais ce sont fait abattre sans ménagement ! C’était les ordres… En effet les gardes ont reçut l’ordre de tiré dès qu’il y avait un danger potentiel. Mais si ca continue comme ca les villes vont rapidement manquer et le palais va être submergé. Heureusement le roi et la reine ne sont pas la mais malheureusement le prince héritier est encore la avec ses tuteurs et tous les nobles… Heureusement les gardes sont rapidement ont reçut de l’aide et les soldats en poste dans les casernes alentours sont venus leurs prêter main forte. Parmi eux on il y a un jeune soldat. Il doit être environs âgée de 25 ans peut être plus. En tous cas il ne dépasse pas la trentaine. Son visage est traversé par une longue cicatrice surement causé par une lame… Au moment ou lui et sa division arrive sur les lieux les habitants de Londres ont déjà foncé entouré les châteaux et les gardes déjà débordés le sont encore plus qu’il y a une vingtaine de minutes. Les jeunes hommes et ses camarades foncent donc dans le tas et les habitants tombent un par un sous les balles ou sous les coups de sabres. Le spectacle et macabres mais il ne décourage pas la foule qui telle la marée ne cesse de monté vers le palais. Le soldat a la balafre s’approche alors du portail et lui et ses soldats réussissent à le fermer. Le prince est en partie hors de danger au même moment le balafré ce retourne vers un des gardes tous vêtue et rouge et lui dit avec une voix lassé et grave :
« C’est dingue Ca ! Et après ils parlent des bêtes sauvages et des habitants des colonies. Ils ne sont pas mieux d’ailleurs je n’aurais jamais du revenir en Grande Bretagne au moins en Inde il y avait du soleil la journée… »
L’autre personnage ce mit à rire et il ôta son énorme casque alors que certains soldats eux tenter de contenir la foule a travers le grand et épais portail. Un homme tenta de l’escalader mais il tomba lorsqu’un garde fit feu en dissuadant le reste de la population de grimper. C’était vraiment étrange. La Lune brillait toujours mais l’on était en pleine journée. Même si pour la plupart des soldats le plus important était de contenir cette émeute certains ne pouvaient s’empêcher de trembler a l’idée d’une nuit eternel ou pire d’une fin du monde imminente. Pour beaucoup la première solution était le meilleur mais comment vivre sans soleil pendant des jours ? Voir des années ? C’est le genre de question ce poser le balafré celui-ci essuya son front encore couvert de sueur et serra la main de celui qui sembler être le chef de la garde de ce palais.
« Enchantez. Je suis le Chef de Caserne Rorry Mc Brie je suis venu vous prêtez main forte ! J’espère que je pourrais vous êtres utiles ! Ma division est prête à mourir pour… sauver la couronne… »
La dernière partie de son petit discoure avait était prononcé différemment il n’avait pas prononcé le mot « couronne » de la même manière. En effet avant de le dire il était resté silencieux et ensuite sa voix avait l’air plein de haine ? Pourquoi une telle haine ? C’était très bizarre... Malgré ca le chef de la garde répondit d’abord avec un sourire puis répondit en haletant :
« Merci d’être venu si vite ! Je ne sais pas si ont auraient put tenir sans votre aide Chef de Caserne Mc Brie je vous suis très reconnaissant. Au fait pour répondre à votre question en Inde aussi il fait nuit… Et c’est la même chose a dans le reste de l’Europe. Il parait qu’a Rome il y a eu des Emeutes mais que le Pape a réussit à les calmer grâces a un discours nous on ne peut pas faire ca la reine et le roi ce sont enfuit ce matin … Justement a cause de possibles émeutes… »
Mc Brie soupira et regarda la foule tenter de briser ce qui les séparé du château même dans de telle conditions ils trouvaient ca déplorable. Il avait comme un sentiment d’aversion envers leurs comportement il ne comprenait pas pourquoi ils faisaient ca. En tous cas une chose était sure il n’allait pas les laisser passer…
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France : Carnac Nuit du 18 Juin 1856
Je ne peux pas vous dire que la nuit était tombé en France puisque le jour ne s’était pas lever en tous cas il devait être 23h en France a Karnak. Ce lieu si mystérieux couvert de pierres dressé ect… Au milieu de ces lieux étranges. Des hommes tout aussi étranges ceux-ci étaient éclairé avec des bougies et porter tous de long manteaux marron. Leurs visages eux étaient caché par une épaisse capuche ils semblaient défilé entre les pierres… Karnak est un lieu ancestral et on dit que la nuit des êtres magiques dansent entre les pierres en chantant de mystérieuse chanson est ce que c’est le cas maintenant ? Non il s’agit bel et bien d’êtres humains fait de chairs et d’os. Et au bout de quelques minutes l’un d’eux s’assoit. Même si l’on ne peut pas voir le haut de son visage et donc ses yeux on peut tout de même apercevoir un léger sourire aux lèvres de celui-ci il regarde un par un les membres de cette drôle d’assemblez et ce met à rire. Pourquoi ? Et bien il va surement l’expliquer puisqu’il prend la parole devant une cinquantaine de personne.
« Mes amis… Mes frères d’Armes le jour que l’on a tellement attendu et enfin arrivé. Les cieux ont entendu nos chansons et ont vues nos processions. Ils ont réalisé nos rêves. Du moins en partie ! Car vous le savez tout cela n’est pas encore terminé ! Pour que les dieux continues à suivre notre macabre scénario il faut continuer a chanter et a défiler mes frères. Alors recommençons nôtres processions et chantez encore plus fort qu’avant ! »
A ce moment la un éclair tomba du ciel et fit tomber un arbre comme si le ciel avait écouté le discoure de ce drôle de personnage encapuchonné ! C’était vraiment étrange. De plus après un grand coup de tonnerre la pluie se mit à tomber et commença a mouiller les hommes qui défiler entre les pierres. L’eau couler à flot et la pluie éteignit même quelques flambeaux mais malgré la pluie l’orage et surtout l’obscurité les hommes continuèrent à défiler sans pour autant trébucher ou se cogner contre un rocher ils étaient comme protéger par une force divine qui nous est inconnu. Cette procession dura des heures et des heures et lorsque l’Eglise du village le plus proche sonna les douze coups de minuit les hommes se mirent a chanter encore plus fort dans une langue que peut de gens doivent connaitre…. |
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| Sujet: Re: La prophétie des Ténèbres Dim 18 Jan - 0:35 | |
| Jour 2 Grande Bretagne : Londres Matin du 19 Juin 1856
Les choses se sont aggravé dans la nuit du 18 au 19 dans la Capitale Britannique. En effet un certain Dick la Dent d’Or a prit la tête des émeutiers et a réussit à rendre ceux-ci plus dangereux grâce a un soit disant Grand Talent d’orateur. Beaucoup des Londoniens ont attaqué le palais dans l’espoir de tuer l’héritier de la couronne comme si ce jeune garçon était la cause de cette catastrophe qui n’avait pas disparu puisque pour la deuxième fois le soleil ne s’était pas lever. Et s’il avait fait il aurait éclairé la cour du palais couverte de cadavre ! Oui comme je vous l’ai dis les Londoniens avaient attaqué le palais mais ce n’est pas avec des poils à frire et des petits couteaux que l’on bat des hommes armés de fusils et entrainé pour tué. La foule avait chargé et ce fut un vrai massacre. Les Soldats eux-mêmes étaient traumatisés et on pouvait discerner leurs visages dégoulinant de sueur dans cette pénombre qui avait l’air éternelle. Enfin tous les soldats ne semblaient pas traumatisé en tous cas ce n’était pas le cas de Rorry. Il était au milieu de la grande cour à quelques mètres du portail assis sur deux cadavres tel un chef de guerre trônant sur le corps de ses multiples victimes. Une cigarette au bec son fusil lui était posé sur son épaule droite. Il fumé comme si rien était et se contenter d’observer la fumé qui sortait de sa cigarette. Il la regarder s’élever vers le ciel en faisant de petit tourbillons. Mais au milieu de cette scène que l’on pourrait qualifier de majestueuse mais morbide une chose faisait tache. Il s’agit de la main gauche du balafré alors que lui était assis sans un mot celle-ci n’arrêtait pas de trembler elle bouger et apparemment c’était indépendamment de sa volonté… Ce ne pouvait pas être le froid… Malgré la nuit la température était plus qu’agréable et le militaire lui portait une épaisse veste en laine. Alors qu’est ce que c’était ? Ce drôle de spectacle intéresser les soldats car malgré les ténèbres qui couvraient la capitale ainsi que le reste du pays les soldats ne pouvaient s’empêcher de regarder cet homme avec des yeux tous ronds. Il est vrai qu’un tel comportement n’était pas fréquent et même le chef de la garde était étonné. Plus tôt dans cette nuit plus longue que prévu des soldats avaient quitté les lieux pour aller inspecter les alentours… Ils n’étaient toujours pas revenus et le chef de la garde commençait a s’inquiétait pour ses hommes peux êtres que ceux-ci c’étaient fait tué ou autre…
Alors que celui-ci observer sa montre a gousset des bruits de pas se firent entendre, ceux-ci étaient bruyant et les soldats purent rapidement apercevoir un des soldats envoyez plus tôt. Celui-ci arriva devant la grille en quelques minutes en le voyant ses collègues ouvrirent rapidement le grillage. Celui-ci demanda alors à voir les supérieurs et celui-ci s’avança vers Rorry qui était encore assis sur deux ou trois morts. Le jeune soldat qui avait apparemment fait une longue course semblait plutôt intimidé devant ce drôle de bonhomme il observa longuement l’homme qui était devant lui avant de s’arrêter pour fixer la main du soldat qui elle ne s’arrêter pas de trembler. Il expira longuement avant de pointer cette main et de dire :
« Vo… Votre main… Elle n’arrête pas de trembler… »
Le Chef de Caserne sursauta et regarda sa main tremblante. Il posa alors son autre main sur celle-ci pour qu’elle arrête de bouger mais apparemment elle continuer à trembler même caché et « plaquer » contre la cuisse du militaire. Qui décida de cacher cette main en la fourrant dans sa poche après avoir jeter sa cigarette sur le sol. Rorry Enchaina :
« Désolé c’est surement le froid qui la fait trembler comme ca… Va y parle gamin… »
Le jeune homme ce mit donc a expliquer la situation a son supérieur il lui expliqua que même si ils n’avaient pas encore attaqué des émeutes naissaient aux quatre coins de la ville. Et qu’ils n’aillaient pas tarder à attaquer le palais… Le balafré soupira à nouveau ca ne lui plaisait pas tout ca… Et ce maudit soleil qui ne voulait pas ce montré ! Vraiment ce n’était pas bon car même si les soldats avaient des fusils ils n’avaient pas des tonnes de munitions et le massacre d’hier avait couté cher en poudre et aussi en vie puisqu’une vingtaine de soldats anglais avaient perdu la vie… Une fois la situation résumé il ordonna au jeune homme d’aller ce reposer il s’approcha ensuite du chef des gardes avant de reprendre la parole :
« Pff ! Foutu nuit… Les gens sont vraiment fous ils ont peurs que le ciel tombe ? S’il devait tomber il serait déjà tombé hier non ? Et le roi et sa femme ! Ils n’ont même pas le courage de faire un discoure devant le peuple ! C’est ca la Couronne d’Angleterre… Pfff il est loin le Temps des grands rois de Bretagnes ! Au fait je parle, je parle mais je ne vous ai même pas demandé votre nom… »
Il esquissa un petit sourire alors que sa main gauche était toujours entrain de trembler en plein milieu de sa poche… Le chef de la garde ce leva et se frotta le crane avant de répondre :
« Je m’appel Edward Conway… Et je trouve que vous êtes un peux … Enfin je trouve que vous avez un jugement un peut sévère pour les londoniens et surtout sur notre famille Royale… »
Le Militaire ce contenta de soupirer et de tourner les talons après avoir sortit un petit « enchanté » il reposa ses fesses sur les deux cadavres de tous a l’heure alors qu’un bruit de fracas s’approcher du Château…
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Italie : Vatican Après Midi du 19 Juin 1856
Le jour ne s’étant toujours pas levé sur le Vatican malgré le fait que l’Horloge affichait 15 heures. Le Pape Pierre III marchait dans la Grande Bibliothèque il faisait les 100 pas avec un livre dans la main. Evidemment ce livre était une bible. Et plus précisément le nouveau testament c'est-à-dire la partie qui contient l’Apocalypse… Il n’arrêtait pas de lire ce passage qui est surement l’un des plus sanglants de la bible… Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il était anxieux il avait peur comme tous les hommes après tout ce n’était qu’un humain comme les autres il avait le droit d’avoir peur, il avait le droit de douter… Il mordiller sa lèvres inférieur frénétique. Et alors que le silence régner dans la salle des bruits de pas brisèrent ce calme puis la porte de la pièce grinça et le Cardinal Ambrozzi pénétra dans la pièce ses yeux bleu étaient souligné par des rides énormes. Celui-ci n’avait pas dormi de… La nuit… Il s’approcha du Pape. Et posa sa main sur l’épaule de celui-ci qui sursauta. Il n’avait pas sentit ni entendu celui-ci arriver et ce tourna vers lui en soupirant … Il mit une petite ficelle devant la page qu’il était entrain de lire pour ne pas perdre sa page puis il ferma le bouquin avant de ce tourner devant le deuxième homme d’église le représentant du culte regarda l’homme en rouge avant de lui dire :
« Santu… Je te connais depuis que j’ai 12 Printemps… Alors… Aide-moi… Je suis peux être « Le Saint Pape » mais je reste humain et je ne sais pas quoi dire… Je dois faire un discoure avant 17 heure et je ne sais pas vraiment quoi dire… Après tout je n’en sais pas plus qu’eux… Moi aussi j’ai peur… Moi aussi je suis terrifié alors qu’est ce que je dois faire… »
L’homme s’approcha d’une chaise et posa rapidement son saint popotin sur celle-ci… Il sentait ses jambes le lâcher il était bien trop stressé et ses yeux commençaient a devenir humides… Il ce frotta ensuite le haut du crane et plongea ses yeux dans ceux du Cardinal qui lui était resté debout. Celui qui semblait être un vieil ami du Pape prit donc la parole :
« Je ne peux pas t’aider Philipe… Essaye d’être honnête… Dit leurs ce que tu pense sans pour autant être trop direct… C’est peut être le seul conseil que je peux te dire l’ami… »
Le Pape fit un oui en hochant la tête et demanda au Cardinal de quitter la pièce pour le laisser réfléchir… Philipe alias Pierre III s’approcha de la fenêtre et observa les ténèbres de la nuit pendant dix longues minutes puis quitta la bibliothèque pour retourner dans sa chambre tout en gardant sa bible à la main. Une fois dans sa chambre il passa son visage sous l’eau et regarda longuement son reflet dans le miroir il passa l’eau une deuxième sur son visage. Quelques minutes après il ce remit à lire sa bible… Une s’écoula… Puis deux… Après ces deux longues heures qui semblaient apparemment interminable le Pape s’approcha de la fenêtre. Et décida de faire son discoure la foule se massa devant la fenêtre c’était rare de voir autant de pèlerin dans la place St Pierre… Il prit donc la parole :
« Mes enfants j’ai longtemps réfléchit. An l’An 0 le Messie est venue au monde. Jésus est venu au monde. Tout au long de sa vie il a prêché la parole de dieu. Et dieu a dit « Tu ne Tueras Point »… « Tu aimeras ton prochain »… Mais… Est-ce que l’on a suivit ses enseignement… NON ! Les hommes ont continué à tuer sans scrupules. Ils se sont fait la guerre ils se sont entre tué pendant des années. Alors maintenant j’en ai l’intime conviction. Dieu a fait disparaitre le jour pour nous punir. Il nous a donné une nuit de Grand Pardon ! La nuit ne s’arrêtera pas tant que l’humain continuera à être une montre… Tant qu’il s’entre tuera et je suis persuadé que vous en êtes incapable… Alors maintenant je vous laisse méditer sur votre erreur mes enfants… »
Il tourna ensuite le dos à la foule et passa a coté du Cardinal Ambrozzi qui l’observa avec des yeux énormes. Il n’avait pas reconnu son ami pendant son discoure… Il avait changé… Qu’est ce qu’il s’était passé en trois heures ? Etrange… Vraiment Etranges … Il voulu parler a son ami mais celui-ci l’évita et partit directement vers sa chambre. Il s’enferma dans celle-ci et commença à lire plusieurs prière tel que le notre père ou le Je vous salut Marie… Ambrozzi ne chercha pas plus loin et le laissa en paix… La Seule personne à pouvoir voir comment le pape était fut sa femme de chambre qui elle était restait dans la salle. Elle peut voir un Pape effondré qui se mit rapidement a pleuré comme un nourrisson elle resta loin de celle-ci ne préférant pas le déranger….
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Etat Unies D’Amérique : Washington D.C Soir du 19 Juin 1856
Ces Ténèbres ambiantes n’avaient pas touché que la vieille Europe puisque même les Jeunes Etats Unies d’Amériques étaient touché par cette catastrophe heureusement le problème était mieux géré grâce au lampes a pétroles et a la toute nouvelle électricité qui avait en quelques sorte sauvé les grandes villes telles que New York ou dans le cas présent Washington DC la Maison blanche était par contre entouré de soldats armées jusqu’aux dents et prêt a tiré… Pourquoi ? A cause des nouvelles venu de Grande Bretagne le gouvernement Américain avait peur qu’il ce passe la même chose chez eux et était donc paré toutes éventualité ! Dans cette fameuse maison blanche on pouvait voir un homme assis dans les célèbres bureaux ovale il écrivait sur un cahier noir il s’agissait du président Fillmore qui était revenu de ses vacances d’été d’une manière précipité il ce mit a feuilleter doucement un livre qui ce trouvait a coté de lui jusqu'à ce qu’un de ses conseillé vienne frapper a sa porte il du faire ca deux ou trois fois avant que le président ne l’autorise a rentré celui-ci était tellement concentré qu’il avait oublier de parler le dit conseiller était plutôt vieux il devait avoir la soixantaine peux être plus il soupira en regardant son président assis devant son bureau un bouquin dans les mains. Le conseiller posa ses fesses sur la chaise en face de son cher président et attendit quelques minutes avant de prendre la parole :
« Mr le président… La situation deviens critique… Les Techniciens l’affirment. Les réserves Electriques qui illumine New York, Washington et le New Jersey ne tiendront pas plus de cinq jours… Qu’allons-nous faire si c’est le cas ? On ne peut pas laisser les gens livrez a eux même sinon il va se passer la même chose qu’a Londres… »
L’homme le plus puissant des Etats Unies ferma donc le bouquin qu’il était entrain de lire et ce leva il tourna ensuite le dos a son conseiller pour regarder par l’immense baie vitrée. Au bout d’une ou deux minutes il ce retourna pour regarder le vieil homme et s’approcha un peut de lui. Il sortit alors une boite de cigarette de sa poche droite et alluma une pipe… Et après ca il ce décida enfin a répondre a la question !
« Et bien c’est fâcheux… J’espère que cette « Nuit » va s’arrêtez avant que l’on ne soit a cour mais partit comme ça l’est je ne pense pas que ce sera le cas et c’est encore plus fâcheux… Mais ce n’est pas en postant des molosses armées jusqu’aux dents autours de la Maison blanche que l’on va calmer la population elle a déjà l’air tendu. Sinon on ma fait un résumé du discoure du Pape Pierre III celui-ci n’a rien fait pour calmer la population au contraire il aurait peut tenir un autre discoure… Je pense qu’a l’heure actuelle la seule chose que je puisse faire c’est… Attendre…» |
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| Sujet: Re: La prophétie des Ténèbres Dim 18 Jan - 22:53 | |
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| Sujet: Re: La prophétie des Ténèbres Jeu 22 Jan - 22:35 | |
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| Sujet: Re: La prophétie des Ténèbres | |
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